Meursault est le personnage principal de cette histoire. Le personnage de Meursault commence à se développer au cours de ces chapitres. On peut clairement voir son détachement psychologique du reste de la société et les gens dans sa vie. Il a une personnalité très passive, c’est-à-dire qu’il est indifférent à des nombreuses situations. Dans chapitre trois, par exemple, son voisin, Raymond Sintès, lui demande d’écrire une lettre pour lui à sa maîtresse. "J’ai fait la lettre. Je l’ai écrite un peu au hasard, mais je me suis appliqué à contenter Raymond parce que je n’avais pas de raison de ne pas le contenter" (Camus, 54). Cela démontre que Meursault est si passif qu’il se laisse manipuler par Sintès en faire la mauvaise chose. Son détachement psychologique de la société est également illustré au début du chapitre quatre quand il est avec Marie. Meursault raconte: "Un moment après, elle m’a demandé si je l’aimais. Je lui ai répondu que cela ne voulait rien dire, mais qu’il me semblait que non" (Camus 59). Meursault n'a pas de vrais sentiments pour Marie, ses sentiments sont seulement sur la surface. L’amoralité de Meursault est également vu dans ce chapitre. Quand Raymond lui demande d'aller au poste de police de témoigner qui est maîtresse l'avait trompé, il est d'accord. Il ne considère pas cette action comme «bonne» ou «mauvais»; il fait tout simplement parce qu'il le peut.
Raymond Sintès est le voisin de Meursault. Il se trouve en face de Meursault parce qu’il est immoral où Meursault est amoral. Dans chapitre trois, Sintès explique à Meursault qu’il a une maîtresse à qu’il donne de l’argent. Elle utilise l’argent de façon irresponsable, et Sintès a des soupçons qu’elle le trompe. Il bat sa maîtresse jusqu’à ce qu’elle saigne, ce qui démontre encore son caractère immoral. Raymond implique Meursault en lui demandant d’écrire une lettre à sa maîtresse. “Il voulait lui écrire une lettre «avec des coups de pied et en même temps des choses pour la faire regretter»`` (Camus, 53). En voyant cette lettre à sa maîtresse, Sintès sera prendre sa revanche sur elle. Sintès se manipule Meursault d’écrire cette lettre, qui sera l’impliquer dans le conflit. Dans chapitre quatre, l'agressivité de Raymond est montrée. La façon dont il parle et agit envers sa maîtresse, et, plus tard, le policer, est très froide et sans soucie. Par exemple, lorsque le policer arrive à l'appartement de Raymond, ce qui se passe: “‘Ton nom’, a dit l’agent. Raymond a répondu. ‘Enlève ta cigarette de la bouche quand tu me parles’, a dit l’agent. Raymond a hésité, m’a regardé et a tiré sur sa cigarette“ (Camus 60). Il se rebelle contre les ordres de le policer. Cela affirme inévitablement l'immoralité dans son caractère. Il traite les femmes et les personnes de l'autorité supérieure sans aucun respect.
Marie Cardona ne joue pas un rôle énorme dans ces chapitres, mais elle subit encore quelques développements du caractère. Ses affections pour Meursault sont révélées dans chapitre quatre. Quand Meursault dit qu'il ne l'aime pas, elle répond: "Elle a eu l’air triste" (Camus 59). On peut voir clairement que ses sentiments ont une valeur sentimentale attachée à eux, contrairement à ceux de Meursault.
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