Le suspense est utilisé à la fin du chapitre 3. “La maison était calme et des profondeurs de la cage d’escalier montait un souffle obscur et humide. Je n’en tendais que les coups de mon sang qui bourdonnait à mes oreilles. Je suis resté immobile.” (Camus, 55,56) Cela démontre le suspense parce que le lecteur veut savoir ce que Meursault entend et ce qui se passe. Le lecteur voudrait continuer à lire pour découvrir ce qui se passe dans les prochains chapitres.
Les images sont utilisé dans chapitre 4. Camus parfaitement dépeint la dispute entre Raymond et sa maîtresse. Les images utilisées étaient très frappante et intrigante. En outre, la façon dont il décrit la douleur ressentie de Salamano de perdre son chien est efficace de la même manière.
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